"Ces derniers jours, il y a eu des avancées, elles sont incontestables mais elles ne sont pas parues suffisantes", a-t-il déclaré. "Nous ne voulons rien autoriser qui pourrait être un doute sur les intentions de l’Iran", a-t-il ajouté. "Nous maintiendrons la pression".
L’une des conditions posées par François Hollande est le placement sous contrôle international de "l’intégralité des installations nucléaires iraniennes". Il a aussi demandé la suspension de l’enrichissement d’uranium à une concentration fissible de 20%, ainsi que la réduction des stocks existants.
Le France demande, enfin, l’arrêt de la construction du réacteur de recherche d’Arak, installation qui inquiète l’Occident dans la mesure où, une fois achevé, elle pourra produire des substances susceptibles de servir à la fabrication de bombes nucléaires. "Voilà les points qui sont pour nous essentiels comme garanties d’un accord", a conclu le président français.