Dans ce film de Marjane Satrapi figure une représentation d’Allah, ce qu’interdit l’islam. Cette diffusion avait provoqué de vives tensions entre partisans de la laïcité et islamistes en Tunisie.
La justice tunisienne a prononcé une amende de 2.400 dinars (1.200 euros) à l’encontre de Nabil Karoui, le directeur de la télévision privée Nessma jugé pour blasphème après la diffusion en octobre de "Persépolis".