"Le bactériologique et le chimique sont d’une autre nature que les armes ordinaires" a-t-il poursuivi à la question de savoir s’il attendrait d’avoir un accord de l’ONU pour intervenir dans un tel scénario, laissant entendre que non. "On ne peut pas supporter que ces armes, dont les conséquences peuvent se diffuser, soient employées", s’est-il justifié, assurant que la réglementation internationale le permettait pour de telles armes.
Il a "gardé le secret" sur la question de savoir si la France ou les États-Unis attaquerait en premier.