Stéphane Guillon commence par revenir sur ses trois ans passés sur France Inter, affirmant malicieusement qu’après avoir été choqués, ses auditeurs sont désormais « devenus bien plus méchant que moi. Aujourd’hui, l’auditeur a dépassé le chroniqueur ».
« Et malheureusement, c’est maintenant que nous allons devoir nous séparer », prévient-il, « Oui, chers auditeurs, il me reste à présent deux chroniques pour vous dire au revoir, tirer ma révérence, et faites-moi confiance, je vais en profiter à fond ». Il explique : « Mes chances d’être sur cette antenne à la rentrée à 7h55 sont équivalentes aux chances des Bleus de se qualifier pour le deuxième tour du mondial, c’est-à-dire nulles ».
Et de préciser ironiquement qu’il sait qu’il va partir en ayant lu l’interview de son directeur, Philippe Val, dans Télé-Loisirs. Il ironise encore, lorsque, reprenant les propos de ce dernier qui affirme que c’est déplacé d’avoir une chronique humoristique au moment des infos, ce dernier en tenait justement une, à la même heure que la sienne !