Cet échec, dont les causes n’ont pas été éclaircies, est jugé "très décevant et surprenant" par les chercheurs dans la mesure où une étude clinique précédente avec ce même gel microbicide à base de Tenofovir (1%), un antirétroviral, avait donné des résultats encourageants.
Cette étude baptisée Caprisa, dont les résultats avaient été annoncés en juillet 2010, montrait en effet que ce gel vaginal protégeait 39% des femmes qui l’appliquaient avant un rapport sexuel