Le texte a été approuvé par 38 membres de la deuxième Chambre du Parlement, réunie en séance plénière, alors que 21 autres s’y sont opposés.
Le projet de loi de finances, qui table sur un taux de croissance de 3,7% l’an prochain, propose une série de mesures visant à stimuler les investissements, particulièrement la révision à la baisse de l’impôt sur les sociétés (IS) et la baisse progressive du taux de la cotisation minimale.
Une enveloppe de 26 milliards de dirhams sera mobilisée en soutien au pouvoir d’achat des citoyens, tandis que 14,6 milliards sont consacrés aux subventions des produits de première nécessité via la Caisse de compensation.
En outre, une enveloppe de 91 milliards de DH est réservée aux secteurs de l’éducation nationale, de la formation professionnelle, de l’enseignement supérieur et de la santé.