Dans une mise au point parvenue, vendredi à la MAP, M. Alaoui a souligné que ledit site "n’a pas pris la peine de procéder à des investigations et d’enquêter auprès des services du ministère de l’Education nationale ou encore me contacter personnellement, afin de s’assurer de la véracité des faits, vu qu’il ne s’agissait, tout simplement, que d’une confusion avec d’autres personnes portant les mêmes nom et prénom".
Il a assuré qu’il n’avait jamais bénéficié d’un logement fonctionnel lorsqu’il était à la tête des départements de l’Education nationale (enseignement primaire) et de l’Agriculture. "On l’aurait précisé d’ailleurs dans la liste des bénéficiaires concernés, publiée récemment par le ministère de l’Education nationale", a-t-il ajouté, observant qu’aucune poursuite judiciaire n’est, à cet égard, engagée à son encontre auprès des tribunaux.
"Ces pratiques n’honorent pas leurs auteurs et témoignent d’un manque de respect des règles de la déontologie du métier du journalisme", a poursuivi le communiqué.
Lakome a fait à Ismail Alaoui, selon MAP, ses excuses à propos de la publication d’un article citant le président du Conseil de la présidence du PPS, parmi les occupants d’un logement de fonction, précisant qu’il s’agissait d’une "erreur non intentionnelle".