Concédant que les deux députés frontistes ne pouvaient porter seuls une telle motion, Marion Maréchal-Le Pen a expliqué que ce soutien était une opportunité, pas un blanc-seing à l’UMP. "Nous rejoignons l’UMP sur le constat, mais nous estimons que l’UMP n’est pas légitime à porter ce constat", a-t-elle fait valoir, renvoyant l’UMP à son propre bilan, notamment en matière de politique fiscale qui n’a, selon Marion Maréchal-Le Pen, n’a rien à envier au gouvernement Ayrault.
