Selon ce communiqué, "une jeune femme a effectivement déposé plainte, le 11 juillet 2008, à l’encontre de Nicolas Hulot en dénonçant un fait de viol commis, selon elle, onze ans auparavant, alors qu’elle était déjà majeure".
Au courant de rumeurs circulant dans les rédactions sur un article finalement publié dans le numéro d’Ebdo à paraître vendredi, le très populaire ministre de la Transition écologique avait "pris les devants" pour contrer "un poison lent qui tue", en démentant sur BFMTV tout comportement inapproprié.
Il avait d’ailleurs reconnu l’existence d’une plainte en 2008, classée "sans suite", de la petite-fille d’un homme politique célèbre, une jeune femme alors "majeure", concernant "des allégations remontant à 1997".
L’Élysée a apporté jeudi son soutien à Nicolas Hulot et écarté toute démission en l’absence d’une mise en examen du ministre de la Transition écologique.