Les propositions ont notamment porté sur quatre volets principaux. Le premier concerne l’utilisation du capital symbolique de la religion islamique dans le discours politique et « ses effets négatifs à court et à moyen terme. » Le deuxième volet concerne le choix du jour du scrutin. Le troisième volet concerne le développement des moyens des partis politiques. Enfin, le quatrième se rapporte à la transparence dans le financement des partis. Ce dernier volet fait certainement référence aux accusations qui ont eu lieu durant la campagne électorale concernant les sources de financement du PJD.