"Nous sommes présents, nous sommes tout près. A partir de là, les ravisseurs doivent comprendre que le moment est venu de libérer les otages", a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse.
"Je n’en dirai pas plus parce que je ne veux en aucun cas mettre en péril la vie de nos otages", a enchaîné le chef de l’Etat français lors d’une visite de quelques heures au Mali, trois semaines après le début de l’intervention militaire française dans ce pays.
Sept Français ont été enlevés par des islamistes au Niger et au Mali en 2011 et 2012. Leurs ravisseurs ont menacé de les tuer en cas d’intervention militaire française.