+Empêcher les Algériens de participer au FSM est un acte grave qui porte atteinte à la dignité et à la liberté de nos concitoyens+, déplore le parti dans un communiqué, ajoutant qu’+aucune raison n’a été avancée par la police algérienne des frontières pour justifier un acte aussi grave qui porte atteinte à la dignité et à la liberté+ des citoyens.
+Cet acte démontre, encore une fois, que le pouvoir algérien éprouve une peur panique devant tout acte pouvant entraîner une »contagion démocratique » à la suite des derniers développements dans la région+, ajoute le FFS.
Selon la Ligue algérienne de défense des droits de l’Homme (LADDH), les deux bus de la délégation des syndicalistes et militants de droits de l’Homme sont arrivés vers 4 h du matin au poste frontalier de "layoun" dans la wilaya de Tebessa. +Les 96 membres de la délégation ont remis leur passeport à la police des frontières et ont attendu jus qu’ à 9 h du matin la fameuse" sentence". On leur a remis les passeports sans le cachet+ , déplore l’organisation des droits humains.