Dans un communiqué, l’OMM attribue cette situation à la persistance dans l’atmosphère de substances nocives et d’un hiver très froid au niveau de la stratosphère, ajoutant que le précédent record en matière de destruction d’ozone était une perte d’environ 30 % sur tout un hiver.
La couche d’ozone protège la terre contre les rayons ultra-violets nocifs pour la santé du soleil et les substances qui l’appauvrissent sont notamment les chlorofluorocarbones et les halons, utilisées naguère dans les réfrigérateurs, les propulseurs d’aérosols et les extincteurs, explique l’organisation.