La ministre de l’Ecologie a mis en garde contre une lecture politique hâtive de l’affaire et a eu une pensée également pour la victime de l’agression sexuelle présumée dont est accusé le directeur général du Fonds monétaire international.
"Il y a une victime avérée qui est la France", a-t-elle dit sur Canal+. "Pour l’image de la France, je n’ai pas lu la presse internationale, mais ça ne doit pas être formidable."
"Après, les conséquences politiques, elles vont venir, bien sûr, mais en France, on y court en écartant tous les autres aspects, et notamment la personne qui est en cause", a-t-elle ajouté.
Le patron du FMI a quitté dimanche, les mains menottées dans le dos et escorté par deux policiers, le commissariat de Harlem où il était interrogé par les enquêteurs de la police de New York.