La réduction du taux d’infection parmi les groupes à risque pourrait réduire considérablement les taux de prévalence, estiment les experts qui notent que 91.000 décès dus à cette pandémie sont rapportés annuellement au Kenya.
Les femmes ont le plus lourd fardeau et une plus forte prévalence du VIH/Sida avec huit pour cent contre 4,3 % pour les hommes, selon des rapports établis par le département de la Santé, précisant que 438.000 adultes et 117.000 enfants ont besoin d’une thérapie antirétrovirale.
La prévalence du VIH au niveau national s’élève à 6,3 %, mais le chiffre varie selon les régions.
Selon l’enquête démographique de 2009, la province de Nyanza a enregistré la plus forte prévalence de 13,9 %, suivie par Nairobi (7,0 %), l’Ouest (6.3 %) et l’Est (3.5 %).