"Parfois nous avions des informations (concernant des défections) et nous en discutions. Certains suggéraient que nous les stoppions. Mais nous avons dit non, les stopper n’est pas la bonne chose à faire, les laisser partir c’est ce qu’il faut faire (…); facilitons leur sortie", a déclaré le président syrien lors d’une interview accordée à la chaîne de télévision Addounia.
Bachar al Assad, confronté à une insurrection populaire qui dure depuis 17 mois, a estimé que les responsables qui souhaitaient partir devaient y être autorisés parce que cela "nettoyait" l’Etat des responsables non patriotes.