"La période actuelle est très difficile, il y a eu ces attentats, ces violences, ces casseurs qui se sont permis de briser la nouvelle façade de l’hôpital Necker, des révoltes aussi contre la police", décrit l’épouse de Jacques Chirac. "Tout ça ne rend pas le travail du gouvernement facile", selon elle.
"Il va y avoir une année compliquée, elle l’est déjà, on va très vite aller vers les primaires", en novembre, ajoute Mme Chirac, rappelant qu’elle est "très engagée en politique".
"Je suis restée en Corrèze mais je ne travaille pas qu’en Corrèze, j’ai l’intention de travailler pour la campagne de Nicolas Sarkozy, quand il me le demandera bien sûr", annonce-t-elle.
Mme Chirac fait partie depuis plusieurs années des plus fervents soutiens de M. Sarkozy, président de LR qui pourrait annoncer fin août sa candidature à la primaire de la droite.