Ses avocats ont demandé à la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Douai d’annuler la mise en examen de leur client, notamment poursuivi pour "proxénétisme aggravé en bande organisée" dans cette affaire.
L’ancien directeur général du Fonds monétaire international (FMI) a admis, par la voix de ses avocats, avoir eu des relations sexuelles avec des femmes lors de soirées "libertines". Mais il assure qu’il ne savait pas qu’il s’agissait de prostituées et qu’il ignorait tout de l’existence présumé réseau de prostitution ou d’éventuels faits de proxénétisme.
La défense de l’ancien patron du FMI a soulevé différents points pour demander la nullité de la procédure: partialité des juges, atteinte aux droits de la défense…