"Ces protéines sont très puissantes : elles peuvent bloquer des concentrations très élevées du virus dès la première étape de l’infection. Autrement dit, elles empêchent le VIH de pénétrer dans les lymphocytes T, cellules immunitaires que le virus détruit", décrypte le site spécialisé. Un "mécanisme d’action unique", s’enthousiasment les chercheurs.
Cette protéine serait d’autant plus efficace qu’elle n’entrainerait pas de résistance du virus aux autres traitements existants. Les chercheurs imaginent déjà la mise au point de gels et de lubrifiants sexuels, qui permettraient aux femmes de se protéger. Reste maintenant à tester les protéines en laboratoire, pour déceler d’éventuels effets secondaires.