La Cour constitutionnelle a rejeté dimanche des dispositions de cette loi, concernant le découpage des circonscriptions électorales.
Le précédent Parlement, dominé par les islamistes, avait été dissous en 2012, la même Cour constitutionnelle ayant estimé que certaines dispositions de la loi électorale violaient la Constitution.
Après cette nouvelle décision de justice, le président Abdel Fattah al-Sissi a ordonné une réécriture d’ici un mois du texte qu’il avait lui-même ratifié en décembre, selon un communiqué de son bureau. Il a également demandé que toutes les "mesures légales soient prises pour éviter un report" du scrutin.