Darmanin: « Mon premier prénom est Gérald, mon deuxième prénom est Moussa et je suis très fier d’être ministre de la République »
Darmanin: « Mon premier prénom est Gérald, mon deuxième prénom est Moussa et je suis très fier d’être ministre de la République », a déclaré jeudi le ministre de l’Intérieur, chargé des cultes, Gérald Darmanin devant le Sénat.
Interrogé par la sénatrice Jacqueline Eustache-Brinio (LR) sur l’entrisme communautariste dans les Municipales 2020, le nouveau ministre de l’Intérieur, chargé des Cultes, Gérald Darmanin, a répondu: “Oui à la liberté de culte, non à la caricature, non à l’islamisme politique, oui à des Français quelles que soient leur couleur de peau et leur religion. Discutons de ce qui fait nation: la Marseillaise, la culture, la langue et notre drapeau, pas de caricatures”.
» « Mon premier prénom est Gérald, mon deuxième prénom est Moussa et je suis très fier d’être ministre de la République », a-t-il ajouté, rappelant que son grand-père « priait Allah et portait l’uniforme de la république ».
« En France, la laïcité ne veut pas dire la négation de la liberté des cultes », a-t-il précisé
.Dès son premier discours lors de la passation des pouvoirs organisée mardi place Beauvau, Gérald Darmanin s’en était déjà pris à l’islam politique. « Nous devons être intraitables avec ce que le président de la République a qualifié de séparatisme » et « lutter de toutes nos forces contre l’islamisme politique qui attaque la République », avait-il déclaré.
“Oui à la liberté de culte, non à la caricature, non à l’islamisme politique, oui à des Français quelles que soient leur couleur de peau et leur religion. Discutons de ce qui fait nation: la Marseillaise, la culture, la langue et notre drapeau, pas de caricatures” @GDarmanin#QAG pic.twitter.com/Byb88PmPB9
— Sénat (@Senat) July 8, 2020
Jacqueline EUSTACHE-BRINIO (@LesRep_Senat) interroge @GDarmanin sur l’entrisme communautariste dans les #Municipales2020 : « Quelle réponse allez-vous apporter à cet islam politique qui tente d’assigner à résidence et à exclure de la République une partie de nos concitoyens ? » pic.twitter.com/96kPzBWhwI
— Sénat (@Senat) July 8, 2020