"Les Français ont exprimé un vote de crise témoignant de leurs inquiétudes, de leur souffrance et de leur angoisse face au nouveau monde qui est en train de se dessiner", a analysé le président-candidat, lors d’un bref discours devant ses partisans, salle de la Mutualité à Paris.
Les deux candidats qualifiés pour le second tour "ont maintenant un devoir de vérité et un devoir de courage", a-t-il affirmé. "Le moment crucial est venu, celui de la confrontation des projets".
"Ces deux semaines qui viennent doivent permettre à chacun d’entre vous de faire un choix dans la clarté. Tout doit être débattu", a-t-il ajouté, s’adressant aux Français. "C"est pourquoi je propose trois débats", sur les questions "économiques et sociales", de "société" et "internationales", a-t-il souhaité.
"J’appelle maintenant tous les Français qui mettent l’amour de la patrie au-dessus de toute considération partisane et de tout intérêt particulier à s’unir et à me rejoindre", a-t-il conclu.