"Le verdict sape gravement le droit à la liberté d’expression et la liberté de la presse. En même temps, cela affecte l’image de la Thaïlande en tant que société libre et démocratique", a précisé l’UE, se disant "très inquiète" de cette décision. "L’UE appelle les autorités thaïlandaises à s’assurer que toute limitation des droits fondamentaux est appliquée de manière proportionnelle en accord avec les droits de l’Homme universels".
Somyot Prueaksakasemsuk, proche du mouvement des "chemises rouges", a été condamné mercredi pour la publication de deux articles en février et mars 2010 dans le magazine "Voice of Thaksin", dont il était rédacteur en chef.
