Sur la dizaine de candidats déclarés, trois sont favoris: un ancien ministre de l’Agriculture de Hafez al Assad, un économiste et un cadre supérieur dans les télécoms, qui ont vécu longtemps aux Etats-Unis.
Mais d’abord, les quelque 70 membres de la Coalition, l’organe le plus représentatif de l’opposition, devront se mettre d’accord sur la nécessité de former un gouvernement intérimaire ou de se limiter à mettre sur pied un organe exécutif aux pouvoirs plus limités. A deux reprises les réunions ont été annulées faute d’un consensus sur cette question.