Dans l’est d’Alep, "au moins 85 personnes ont été tuées (samedi) par des barils d’explosifs lancés par des hélicoptères militaires sur des quartiers tenus par les rebelles", a affirmé l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH).
Il faut remonter au 15 décembre pour trouver un bilan presque aussi lourd, avec 76 morts.
Parmi les victimes figurent 65 civils, dont 13 enfants, a précisé l’OSDH. En outre, dix jihadistes du Front Al-Nosra, branche officielle d’Al-Qaïda en Syrie, ont été tués dans un de leurs quartiers généraux, tandis que dix corps n’ont pu être identifiés.