Des représentants des Etats-Unis, de Grande-Bretagne,d’Arabie Saoudite et d’Egypte seront notamment présents, a-t-on précisé de sources diplomatiques françaises.
"On doit répondre aux besoins exprimés par l’opposition pour rééquilibrer le rapport de forces sur le terrain", explique-t-on de mêmes sources.
Lors d’une rencontre des "Amis de la Syrie" la semaine dernière à Ankara, le général Salim Idriss, chef du conseilmilitaire suprême de l’Armée syrienne libre (ASL), a évoqué la nécessité d’une aide militaire, particulièrement d’armes lourdes.