Cette somme sera répartie entre l’Etat algérien et Renault sur une base de 51%/49%, a encore ajouté Cherif Rahmani.
La marque au losange aura une exclusivité de trois ans sur le marché algérien, ce qui interdit à tout autre société automobile de conclure un accord similaire avec une société publique algérienne, précise encore le ministre.
Le groupe français, qui souhaitait une exclusivité de cinq ans, a annoncé cette semaine son retour dans un pays où la marque est présente depuis 1922 et où il a déjà exploité une usine de voitures dans les années 1960.
L’usine, dont l’Etat algérien détiendra 51% et Renault 49%, aura en 2014 une capacité de production annuelle de 25.000 véhicules, qui pourra ensuite être portée à 75.000 unités.
Le groupe y produira des Renault Symbol, un modèle dérivé de la dernière Logan.