"Je suis très étonnée par l’ampleur de tout ça parce qu’une mise en examen n’est pas un prononcé d’une condamnation, donc il faut faire attention à ce que disent les uns et les autres", a encore admonesté la maire du 7e arrondissement de Paris.
"Par définition, cette affaire est soumise au secret de l’instruction. Donc, on ne peut pas demander à un juge d’instruction de venir faire état de cette affaire," a souligné Rachida Dati. Des propos qui contrastent avec ceux tenus vendredi matin par Henri Guainon, l’ancienne plume de Nicolas Sarkozy. "Je voudrais voir le juge d’instruction venir expliquer devant les Français et leur expliquer pourquoi, sur quel fondement, à partir de quel fait précis, concret irréfutable, il a pris une décision aussi lourde de conséquences", avait affirmé le député UMP.