Les investigations menées ont montré que les mis en cause, qui ont prêté allégeance au soi-disant calif de "Daech", sont impliqués dans l’incitation au meurtre en exécution de l’approche sanglante de cette organisation terroriste, parallèlement à leur intention d’acquérir des expertises dans le domaine de la fabrication des engins explosifs, précise le communiqué.
Les premiers éléments de l’enquête révèlent également que l’un de ces éléments, qui avait rallié dans le passé les camps des séparatistes du "polisario" à Tindouf, était en cours de préparation pour perpétrer des actes terroristes à l’intérieur du Royaume en exécution de l’agenda de "Daech", ajoute le ministère. L’opération de perquisition a permis la saisie d’un ensemble d’équipements électroniques, d’une "carte d’identité" délivrée a l’un des mis en cause par “la république fantoche”, d’un uniforme militaire du soi-disant “polisario” et d’un drapeau symbolisant cette “entité fantoche”.
Les mis en cause seront présentés la justice dès la fin de l’enquête qui se déroule sous la supervision du parquet compétent, conclut la même.