L’accord stipule encore que le président intérimaire aura "comme mission d’organiser une élection présidentielle dans le délai constitutionnel de 40 jours".
La Cédéao a également demandé que le président malien Amadou Toumani Touré, renversé le 22 mars par la junte, soit protégé et libre du choix de sa résidence, a ajouté le ministre burkinabè, représentant du médiateur dans la crise malienne.