L’homme, originaire de la ville portuaire de Saïda, dans le sud du pays, avait des liens avec des groupes salafistes, a-t-elle précisé, ajoutant que sa famille a d se soumettre à un test ADN avant d’être autorisée à récupérer sa dépouille.
Le double attentat a fait 23 morts, dont un attaché culturel iranien, et 146 blessés. Il a été revendiqué par les Brigades Abdullah Azzam, liées à Al Qaïda, qui ont menacé de mener de nouvelles attaques si l’Iran ne met pas fin à son engagement dans le conflit syrien au côté de Bachar al Assad.