La mise en garde de septembre a été suivie par une autre en date du 11 octobre dernier.
Anis Amri était dans les radars des services marocains depuis son arrestation en Italie et sa condamnation à 4 ans de prison pour avoir voulu rallier la zone Syro-irakienne.
Libéré, il résidait clandestinement en Allemagne à Dortmund et fréquentait un Russe et un Marocain, deux adeptes fervents de Daech.