Un haut fonctionnaire du département d’État a déclaré jeudi à l’AP que cette mesure était « une réponse directe à l’expulsion non provoquée par la Russie de notre chef de mission adjoint ».
Le responsable du département d’État a souligné qu’il est toujours important « de faciliter la communication entre nos gouvernements », mais a ajouté que l’expulsion du chef de mission adjoint Bart Gorman ne pouvait « rester sans réponse ».
M. Gorman, le deuxième diplomate le plus haut placé à l’ambassade des États-Unis à Moscou, a été expulsé à la mi-février.
« Nous considérons qu’il s’agit d’une escalade et nous étudions notre réponse », avait alors déclaré un porte-parole du département d’État.