Dans un communiqué, le mouvement chiite libanais exige d’Alain Juppé qu’il "rectifie ses propos et (qu)’il prenne garde à la gravité de telles accusations qui constituent une grande injustice et que nous rejetons totalement".
Dimanche, le chef de la diplomatie français a déclaré que la France avait "de fortes raisons de penser" que cet attentat a été commandité par la Syrie et a également mis en cause le Hezbollah.