L’annonce du décès du "premier rockeur français" (Libération) a donné lieu à la parution d’une foison de cahiers et numéros spéciaux.
Johnny Hallyday était "un trésor national" pour Le Figaro, "une passion française" d’après L’Humanité ou tout simplement la "plus grande star" hexagonale selon Le Parisien.
Cette "idole française" a été "la bande-son de plusieurs générations", écrit Le Monde.
"Ce Belge au nom américain était un monument français", souligne Laurent Joffrin dans Libération qui titre sur "feu Johnny".
"Le roc n’était pas inébranlable, mais comme toutes les icônes, notre inconscient l’imaginait immortel", écrit joliment Christophe Bonnefoy dans Le Journal de la Haute-Marne.
"Point n’est besoin de lui vouer un culte, ni de le célébrer sans mesure", tente de nuancer Bertrand Meinnel dans Le Courrier picard mais il était "une des rares références communes partagées par tous".
"On le chantera encore longtemps. Il entre dans l’histoire", assure Hervé Chabaud dans L’Union. Ou du moins "au Panthéon de la musique" selon Laurent Bodin de L’Alsace.
"Après tout, qui pourrait prétendre n’avoir pas en tête, même sans le matraquage en cours, au moins quelques notes de Johnny ? ?", demande justement Bernard Maillard dans Le Républicain lorrain.
Avec afp