"L’échec", peut-on lire sur une affiche et un tract qui dresse le bilan, désastreux dans tous les domaines selon l’UMP, de la première année de pouvoir socialiste.
Le chômage historiquement élevé, l’incapacité à réduire comme promis le déficit public à 3% du PIB en 2013, l’augmentation des impôts, la croissance nulle, les "affaires", la "division" des Français sur le projet de loi autorisant le mariage homosexuel et les couacs dans la majorité sont cités.
"Avec l’UMP, une autre politique est possible", peut-on lire dans le document qui propose une réduction des dépenses publiques, la fin de la semaine de 35 heures, qui passerait à 39 heures, une baisse des impôts et une réduction des charges sociales. Le parti présidé par Jean-François Copé prône également une réduction de l’immigration et un renforcement de la sécurité par la construction de 20.000 places de prison.
