Afin de répondre aux objectifs du programme de l’Union européenne et du Fonds monétaire international et rétablir les dépenses publiques à un niveau viable, le gouvernement a été contraint de faire des coupes dans de nombreux services publics", a expliqué le ministère irlandais des Affaires étrangères dans un communiqué.
Faisant référence au plan de sauvetage de l’UE et du FMI de 85 milliards d’euros en faveur de l’Irlande, mis en place fin 2010, le ministère a noté que "c’est avec un immense regret et avec une grande réticence que le gouvernement a décidé de fermer les ambassades d’Irlande au Vatican et en Iran, ainsi que son bureau de représentation au Timor oriental".
"Aucun secteur de dépenses du gouvernement ne pouvait être épargné" par les économies, a ajouté le ministère dans son communiqué.(