Cet arrêt confirme le jugement de premier instance. Jérôme Kerviel a été reconnu coupable d’avoir pris à l’insu de sa hiérarchie des positions spéculatives de dizaines de milliards d’euros sur des marchés à risque et d’avoir déjoué les contrôles avec des opérations fictives, de fausses écritures et des mensonges répétés.
Il était poursuivi pour abus de confiance, faux et usage de faux et introduction frauduleuse de données dans le système informatique de la banque.