Comme on lui demandait si les ralliements de Manuel Valls, considéré comme à la droite du PS et celui du PRG Jean-Michel Baylet, étaient des cadeaux empoisonnés, il a répond: "Il n’y a aucun cadeau empoisonné dès lors qu’une confiance m’est faite. Je cherche le rassemblement le plus large, sans rien perdre de ma cohérence". "Je suis de gauche et je n’entends pas ici concéder. Je suis de gauche depuis que je suis citoyen", a-t-il dit.