Cette proposition avait été adoptée à l’Assemblée Nationale le 22 décembre à la quasi unanimité des groupes parlementaires. Et ce, malgré l’opposition d’une dizaine de députés UMP, dans un climat très tendu entre la France et la Turquie. A la suite de ce vote, Valérie Boyer avait reçu des "menaces de mort et de viol", selon ses propres termes.