Un préavis avait été déposé le 8 juillet par les centrales syndicales françaises CGT, CFDT, FO et Unsa. Ces dernières réclamaient une « gratification pour l’ensemble du personnel », un plan d’embauche « massif » de 1.000 postes et la garantie de pouvoir prendre des jours de congé pendant les Jeux.
D’après la direction, citée par la presse, l’accord conclu « prévoit le versement d’une prime uniforme pour chacun des collaborateurs d’ADP SA », l’une des revendications des syndicats ayant lancé ce mouvement social à dix jours de l’ouverture des JO (26 juillet-11 août) et en pleine période de pointe estivale pour les aéroports parisiens.
En outre, « des primes particulières sont prévues pour les collaborateurs volontaires à l’accueil des délégations olympiques et la gestion de leurs bagages, ainsi que pour les collaborateurs opérationnels sur tableau de service », selon la même source.