Les cinq Algériens, âgés entre 36 et 49 ans, sont également soupçonnées d’entretenir des liens avec des groupes du réseau d’AQMI dans d’autres pays européens comme l’Italie, la France et la Suisse, précise-t-on de même source.
Les perquisitions dans les domiciles des suspects, menées sur ordre du parquet près l’Audience nationale de Madrid, la plus haute instance pénale chargée des affaires terroristes, ont permis la saisie d’un important matériel informatique ainsi que des documents qui seront soumis à analyse.
Un imposant dispositif sécuritaire, quelque 150 agents, a été mobilisé vu "la complexité de l’opération et la nécessité de mener les arrestations et les perquisitions de façon simultanée", souligne le ministère Espagnol de l’Intérieur, ajoutant que l’enquête reste ouverte et qu’il pourrait y avoir d’autres arrestations