Election du Maroc en qualité de membre non permanent du Conseil de Sécurité de l’ONU : consécration et reconnaissance de la sagesse diplomatique marocaine au plan international.

Bonjour,

désolé de revenir à la charge, mais il me semble que mon papier joint en infra aurait été modéré. Dans la négativé, pourrait-il être publié sur votre journal en ligne. Cordialement Farid Mnebhi.

Election du Maroc en qualité de membre non permanent du Conseil de Sécurité de l’ONU :
consécration et reconnaissance de la sagesse diplomatique marocaine au plan international.
Ce vendredi, 21 octobre 2011, l’Assemblée Général des Nations-Unies a élu, à une majorité écrasante, le Royaume du Maroc en qualité de membre du Conseil de Sécurité pour une durée de deux années et ce, par 151 voix sur 193 pays votants.
Cette élection, dès le premier tour de scrutin à la majorité des deux tiers requise, constitue belle et bien une reconnaissance de la communauté internationale des efforts entrepris par le Maroc pour la paix dans le monde, dans sa lutte contre le terrorisme et la criminalité internationale, sous toutes ses formes, mais aussi de ses idéaux de liberté, de démocratie, de tolérance et de bien être pour les populations nécessiteuses.
Cette élection au Conseil de Sécurité des Nations-Unies reflète également la sagesse de la diplomatie marocaine sur les grandes questions internationales, notamment les bouleversements dans le monde arabe, le problème israélo-palestinien, mais aussi sa gestion intelligente de la résolution du conflit factice du Sahara Marocain.
N’en déplaise aux plus hautes algériennes, que la seule solution de sortie de crise sur la question du Sahara Marocain réside dans l’acceptation du plan proposé par Rabat. Il n’existe pas d’autre issue, le régime de Kadhafi est tombé, et Alger ne peut supporter seule les frais d’intendance du polisario.
De plus, le peuple algérien ne pourra accepter de se sacrifier pour une cause qui n’existe que dans les méandres obscures de ses dirigeants et que la communauté internationale rejette.
Les dirigeants algériens sont donc aujourd’hui au pied du mur : soit ils font une fuite en avant, et dans cette hypothèse les scénarii, tunisien, égyptien, yéménite, syrien et libyen pourraient se répéter. Soit ils offrent plus de liberté au peuple algérien et consacrent les revenus générés par la vente de ses hydrocarbures au développement du pays et non à une cause perdue d’avance.
En vous demandant de bien vouloir publier et diffuser ce papier. Une réponse par courrier serait appréciée. Merci. Farid Mnebhi

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