La suspension par les Emirats de leurs frappes aériennes, révélée cette semaine à Washington, est certes "liée à la nécessité d’assurer une protection adéquate à tous les pilotes participant aux frappes contre Daech (EI). Mais ce n’est pas toute l’histoire", écrit le quotidien Al-Ittihad, organe du gouvernement d’Abou Dhabi.
