La confrérie, dont est issu le président Mohamed Morsi destitué par l’armée et qui avait remporté les législatives fin 2011, a réagi sur son compte Twitter officiel peu après qu’un tribunal a interdit leurs « activités » et ordonné la confiscation de leurs biens, dernier épisode de la vaste campagne lancée par les autorités installées par l’armée contre le mouvement islamiste.

