S’adressant à des patrons de PME, le chef de l’Etat a confirmé que l’une des mesures phares que devrait préconiser l’ancien président exécutif d’EADS, un transfert des charges sociales des entreprises vers la fiscalité, serait bien mise en oeuvre mais pas brutalement.
Le risque, selon lui, serait qu’un transfert massif des charges sociales sur la Contribution sociale généralisée (CSG) ou sur la TVA, n’affecte une demande intérieure déjà atone.
Récusant le terme de "choc", il a évoqué un "pacte de compétitivité" sous la forme d’un ensemble de réformes qui seront engagées tout au long du quinquennat.