Les Américains poussent leurs alliés à endosser ce coûteux projet – évalué à entre deux et trois milliards d’euros, selon la presse française – dont ils espèrent tirer des profits industriels, ils mais doivent compter avec l’hostilité de pays comme la Russie.
Interrogé sur son approche des questions abordées au sommet de l’Alliance qui réunit les dirigeants de 28 pays à Chicago dimanche et lundi, François Hollande s’est déclaré "pragmatique pour faire que, sur le sujet du bouclier antimissiles, toutes les précautions soient prises, toutes les conditions soient respectées".