Christof Heyns, rapporteur spécial de l’Onu sur les exécutions extrajudiciaires, et Martin Scheinin, rapporteur spécial sur la protection des droits de l’homme dans la lutte contre le terrorisme, ont estimé que, dans certains cas exceptionnels, une force létale peut être utilisée dans des "opérations contre des terroristes". "Cependant, la norme est que les terroristes doivent être traités comme des criminels, par des processus légaux d’arrestation, de procès et de peine décidée judiciairement", dit un communiqué des deux experts.