Dans un communiqué diffusé par son porte-parole, le secrétaire général de l’ONU se dit déterminé à ce que "l’Onuci accomplisse son mandat et continue de surveiller et de rassembler les preuves de toute violation des droits de l’homme, incitation à la haine et à la violence ou attaques sur les casques bleus de l’ONU".
Laurent Gbagbo, président sortant dont la communauté internationale rejette la réélection, avait réclamé samedi le départ des quelque 10.000 casques bleus et policiers de l’Onuci et des 950 soldats français du dispositif Licorne.