A ce stade, "il faut rester dans la douleur de l’amitié et attendre les faits", a fait valoir Martine Aubry, expliquant que la justice américaine "respecte ses règles, elle est à charge, c’est ça que les Français doivent comprendre, c’est pour ça qu’il faut prendre ce recul". "Aujourd’hui, nous n’avons entendu que les propos d’un procureur dont le travail est d’aller à charge", "c’est pour ça que nous ne voulons pas en France, qu’on supprime le juge d’instruction qui, lui, regarde l’affaire, regarde ce qui va d’un côté, regarde ce qui va de l’autre", a-t-elle plaidé.